C'est un débat de longue date : quelle est la quantité idéale d'eau à mélanger avec du Bourbon pour faire ressortir le nez ?
Nous étions donc là, un groupe réuni pour goûter au nouveau Bulleit Barrel Strength et déterminer la quantité d'eau ajoutée qui produisait une expérience de dégustation optimale.
Autour de la table un petit groupe attendait – animé par Old Limestone Mixing Water , qui embouteille de l'eau incroyablement pure et riche en minéraux provenant du dessous du Bluegrass, spécifiquement pour couper le Bourbon.
En ligne sur la table, des verres disposés au hasard, chacun contenant une once et demie de whisky à l'épreuve 119 mélangée à une goutte à 1,5 once d'eau.
Tandis que l'hôte versait le Bourbon, la longue dispute se poursuivait. Une femme au bout de la table a fait valoir qu'une seule goutte briserait comme par magie la tension superficielle de l'eau pour libérer la complexité enivrante du Bourbon. Le gars à côté d'elle a fait valoir qu'un mélange individuel avec de l'eau absolument pure diluerait suffisamment l'alcool pour protéger les tissus délicats du nez, permettant ainsi un reniflage plus long et plus délibéré. Tous les autres occupaient des postes intermédiaires.
Un groupe qui renifle un whisky ne règle pas une dispute de longue date, mais il est intéressant de constater la rapidité avec laquelle un consensus s'est développé.
Le favori : le mélange Bourbon-eau 2:1. Au-dessus, le nez était faible et aqueux. En dessous, les vapeurs d'alcool rendaient difficile la séparation des subtilités aromatiques du nez.
En tant que whisky fort en fût, la coupe 2:1 a abaissé la preuve à 80 proof, la teneur standard en bouteille de la plupart des marques de whisky. Vous pouvez faire valoir, comme certains l'ont fait, que l'importance n'est pas la coupe elle-même mais la résistance résultante de ce qui se trouve dans le verre. En supposant que la résistance d'une bouteille soit normale à 80°, une seule goutte peut représenter exactement la bonne quantité d'eau à utiliser. D’autres ont débattu de la manière dont une seule goutte d’eau dans un Bourbon déjà coupé du fût à la bouteille pourrait éventuellement faire une différence.
Le débat s'est poursuivi sans relâche jusqu'à ce que tout le monde se tourne vers un scientifique qui était resté assis tranquillement tout au long. Elle haussa les épaules.
« Est-ce une dispute, a-t-elle demandé, que vous souhaitez vraiment régler ? Je préférerais poursuivre mes recherches.
Elle tendit son verre pour en demander davantage.